le Mercredi 23 avril 2025
le Lundi 4 Décembre 2023 6:13 Politique

Nadia Pelletier-Lavigne, un an comme conseillère

La conseillère francophone de Témiskaming Shores, Nadia Pelletier-Lavigne — Photo : Archives
La conseillère francophone de Témiskaming Shores, Nadia Pelletier-Lavigne
Photo : Archives
Temiskaming Shores — Nadia Pelletier-Lavigne jette un regard positif sur sa première année en tant que conseillère municipale et sur le travail du conseil municipal de Témiskaming Shores. L’apprentissage n’est pas terminé, mais elle considère que les choses vont bien et qu’elle a l’appui des autres élus et des résidents.
Nadia Pelletier-Lavigne, un an comme conseillère
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Elle ne voit plus la communauté tout à fait de la même manière. «On reçoit beaucoup d’invitations officielles. Il y a beaucoup de choses qui se passent en communauté. Comme conseillère, c’est important de me présenter, d’être vue et que les gens sentent que je suis approchable pour venir me parler. C’est un des piliers de mon mandat. Ça fait partie de mon engagement», explique-t-elle. 

Elle comprend mieux comment fonctionne la gestion de la ville : «Comme conseillère, on voit que c’est du solide : le personnel est dévoué, travaillant et bien renseigné. Dans la formation en début de mandat, on nous fait comprendre que nous avons un rôle stratégique et qu’on ne peut pas être là pour poursuivre un seul intérêt. Au début, on ne pense pas à réfléchir, on essaie de tout comprendre.»

Ses dossiers importants

Bien que son engagement et sa responsabilité soient de participer à toutes les questions abordées par le conseil municipal, il y a des sujets qui la touchent particulièrement, comme la qualité de vie des citoyens et les espaces de vie au quotidien. 

Ce que Nadia Pelletier-Lavigne souhaite le plus, c’est que Témiskaming Shores soit un milieu où les gens puissent connecter entre eux et apprendre à se connaitre. La conseillère porte aussi des valeurs d’inclusion : «Il faut que les gens se sentent accueillis dans leur diversité et qu’il n’y ait pas de barrière structurelle». 

Puis il y a les changements climatiques : «On a un plan ambitieux!» 

Cet article était plus long dans Le Voyageur du 29 novembre 2023. Pour ne rien manquer, abonnez-vous.