le Lundi 16 septembre 2024
le Jeudi 27 octobre 2022 23:55 Sports

Jeunesse-Nord et Sacré-Coeur espèrent dépasser leurs attentes au basketball

Un match des Aigles de Jeunesse-Nord — Photo : Courtoisie
Un match des Aigles de Jeunesse-Nord
Photo : Courtoisie
Blind River et Sudbury — Les Aigles de l’École secondaire catholique Jeunesse-Nord et les Griffons de l’École secondaire du Sacré-Cœur font partie de la vingtaine d’équipes francophones féminines de basketball qui ont pleinement repris leurs activités.
Jeunesse-Nord et Sacré-Coeur espèrent dépasser leurs attentes au basketball
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Depuis déjà quelques semaines, les deux clubs ont disputé des matchs de saison régulière et espèrent se tailler une place dans les séries éliminatoires de l’Association du sport scolaire de la rive nord du lac Huron (NSSSA) et de l’Association athlétique des écoles secondaires de Sudbury (AAESS).

Les Aigles aimeraient bien représenter leur région au championnat de l’Association du sport scolaire du Nord de l’Ontario (NOSSA) pour une deuxième année. Les Griffons sont plutôt en mode reconstruction de leur programme de basketball compte tenu de la pandémie. 

Le Voyageur a recueilli des commentaires de l’entraineur Éric Simons de Jeunesse-Nord et de l’entraineuse Caroline Filion de Sacré-Cœur.

Un match des Aigles de Jeunesse-NordUn match des Aigles de Jeunesse-Nord

Photo : Courtoisie

Comment l’équipe se prépare-t-elle pour la saison?

Éric Simons : Nous sommes déjà trois joutes dans la saison et nous les avons toutes gagnées. Nous pratiquons deux, trois par semaine après l’école. Nous avons joué contre les juniors des écoles Central Algoma, Espanola High et Elliot Lake Secondary.

Caroline Filion : L’équipe s’est formée dès la première semaine d’école. Les filles s’entrainent deux fois par semaine. Nous avons une à deux joutes par semaine.

Quels sont les attentes et les défis?

É. Simons : Mes attentes pour l’équipe sont que toutes les filles s’améliorent chaque semaine.  Nous aimerions participer au tournoi NOSSA B au mois de novembre [à Mattawa]. Les défis sont que plusieurs filles — surtout les 9e années — ont manqué beaucoup de développement à cause de la pandémie. Elles doivent se rattraper avec les autres, mais elles travaillent très fort et puis je vois déjà beaucoup de progrès. Les filles n’ont pas les mêmes opportunités ici que celles dans les grandes villes [des camps de basketball, de l’équipement et les entraineurs]

C. Filion : Nous sommes une petite école, donc, nous avons fait seulement une équipe — quatre séniors et six juniors. Avec la pandémie, les filles n’ont pas beaucoup d’expérience en basketball.

Combien de joueuses avez-vous?

É. Simons : Nous avons 13 filles : Tiana Chalifoux, Josée-Anne Burling, Gracie Wilkins, Océanne Thibodault, Addison Brown, Danielle Lemieux, Madison Houle, Mariska Lamothe, Jasmine King, Meghan Raddon, Bella Soum, Hannah Kilpatrick et Summer Pilon. C’est très bon puisque nous sommes seulement 50 élèves dans l’école.

C. Filion : L’équipe a 10 joueuses.

Qui sont celles à surveiller?

É. Simons : Mariska Lamothe est notre capitaine et puis c’est elle le cœur de notre équipe.  Toutes les filles travaillent très bien ensemble.

C. Filion : Jayda Munyakazi est la leadeuse de l’équipe. Elle connait bien le jeu et partage bien ses expertises avec les autres. Elle mène l’équipe avec le plus de paniers.

Un match des Aigles de Jeunesse-Nord

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