Il est de notoriété publique que les régimes dictatoriaux ont, depuis toujours, tenu en horreur la culture. Certainement en raison de la dimension subversive qu’elle peut revêtir, lorsque les peuples aspirent à la liberté et à l’émancipation.
À l’heure où les enjeux nationaux et internationaux exigent un débat politique et économique des plus sérieux au Canada, le discours de campagne des conservateurs de Pierre Poilievre semble verser…
Mark Carney et Donald Trump se sont enfin parlés. Dans le respect. Un préalable qu’avait posé le Premier ministre canadien.
À date, les libéraux donnent l’impression de manoeuvrer adroitement, en prenant de vitesse les conservateurs, pour des élections fédérales anticipées.
Contrairement à ce que peuvent laisser croire les apparences, l’Europe a pratiquement cédé sur l’essentiel des exigences de Donald Trump, à commencer par la revue à la hausse de son budget défense.
La victoire de M. Mark Carney en tant que chef du Parti libéral et futur Premier ministre du Canada n’a occasionné aucune surprise.
Il est commun de voir, dans le monde, que les droits de la femme sont considérées suivant une logique raciale et donc à géométrie variable.
Le Canada vit présentement un sursaut de nationalisme dû principalement aux menaces proférées par le président des États-Unis, Donald Trump, à l’encontre de son voisin du Nord.
Il serait naïf de croire que le trumpisme est le fait d’un seul homme. Ce n’est pas, non plus, le seul fait d’un entourage aux apétits voraces.
Éditorial
La communauté sudburoise a retrouvé elle-même! Cela peut paraitre fantaisiste, mais c’est pourtant vrai. Il fallait voir les franco-sudburois en ce jeudi 30 janvier, à la Place des Arts.