Se préparer à un parcours postsecondaire pose plusieurs défis que les élèves de la 12e année doivent surmonter. L’immense somme d’argent que les jeunes doivent débourser juste pour s’assoir dans la salle de classe est incroyablement difficile à atteindre. Pour un étudiant du Nord de l’Ontario, une année d’université peut couter entre 19 000 $ et 25 000 $, ce qui inclut les frais de scolarité, la résidence, le plan de repas, etc.
Certains devront emprunter des milliers de dollars et rester endettés tard dans leur vie adulte. D’autres travaillent depuis la 9e année à temps partiel, ce qui apporte une nouvelle vague de stress qui n’est pas souvent prise en considération pendant les études secondaires. Certains élèves n’ont pas le choix de travailler s’ils veulent poursuivre des études postsecondaires. Pour un élève, l’effort combiné d’étudier et de travailler apporte une complexité à sa vie de jeune adulte. Cependant, lorsqu’il faut balancer le travail, les 30 heures d’école par semaine, les 40 heures de bénévolat requises et les examens — c’est beaucoup!
Et tout à coup, un nouveau stress s’ajoute à la liste. Les élèves doivent maintenant faire un choix : choisir le chemin qui dictera la qualité de leur vie à venir.
Toutefois, ce choix vient avec un sentiment d’accomplissement. C’est un pas vers la vie adulte et l’indépendance. L’étude postsecondaire représente, pour les élèves, une occasion de suivre leurs passions, quel que soit le domaine d’étude. Un tout nouveau monde où ils pourront fonder de nouvelles amitiés avec de nouveau gens tout en étant libres de devenir plus autonomes.
Et pour les frais, certains parents ont ouvert des comptes d’épargnes pour aider leur enfant. La plupart des écoles secondaires offrent à la remise des diplômes des bourses d’études aux élèves sortants. De plus, beaucoup d’universités et d’établissements postsecondaires offrent aussi des bourses d’entrée qui attirent les élèves.
Certains devront emprunter des milliers de dollars et rester endettés tard dans leur vie adulte. D’autres travaillent depuis la 9e année à temps partiel, ce qui apporte une nouvelle vague de stress qui n’est pas souvent prise en considération pendant les études secondaires. Certains élèves n’ont pas le choix de travailler s’ils veulent poursuivre des études postsecondaires. Pour un élève, l’effort combiné d’étudier et de travailler apporte une complexité à sa vie de jeune adulte. Cependant, lorsqu’il faut balancer le travail, les 30 heures d’école par semaine, les 40 heures de bénévolat requises et les examens — c’est beaucoup!
Et tout à coup, un nouveau stress s’ajoute à la liste. Les élèves doivent maintenant faire un choix : choisir le chemin qui dictera la qualité de leur vie à venir.