Clara Hughes est une cycliste et une patineuse de vitesse canadienne. Elle est la seule athlète à avoir gagné plusieurs médailles aux Jeux olympiques d’été et d’hiver. Elle a gagné une médaille d’or, une médaille d’argent, et quatre médailles de bronze pour le Canada. Elle a participé dans six Olympiques, de 1996 à 2012. Elle a pris sa retraite du patinage à vitesse en 2010, mais elle a continué pendant deux ans pour le cyclisme. Elle est née le 27 septembre 1972. Elle a 51 ans. Elle a une sœur qui s’appelle Dodie Hughes et un mari qui se nomme Peter Guzman. Ses parents sont Ken et Maureen Hughes. Clara est née à Winnipeg, où elle a obtenu un diplôme de Elmwood High School. Elle a commencé le patinage à vitesse à 16 ans, et à 17 ans, elle a commencé le cyclisme. Elle est la porte-parole nationale de Bell Canada « Let’s Talk Mental Health » (parlons de la santé mentale). Depuis 2012, une école porte le nom Clara Hughes. Cette école se trouve à Oshawa, en Ontario. Elle a aussi écrit un livre « Open Heart, Open Mind » qui parle de la santé mentale. 

Le cyclisme et le patinage de vitesse

Le cyclisme est un sport qui date depuis les années 1800. Le premier concept du vélo a été conçu en 1818. Cette version historique de la bicyclette à deux roues est familière à celle de nos jours, mais il y en a une qui est grande et une autre qui est petite. Elle a été inventée par un ingénieur allemand, Karl Drais. En 1861, elle a évolué d’une pédale. Pierre Michaux, un serrurier français, ajoute un système de pédales, et elle devient la bicyclette moderne que nous connaissons aujourd’hui. C’est alors qu’ont commencé les courses de vélocipèdes à pédales. En 1903, il y a eu une grande course en France. Le Tour de France, qui est devenu très populaire. De nos jours, 42 % de la population mondiale possède un vélo. 

Le patinage à vitesse est un sport qui a évolué après le patin à glace. Il a pris naissance lorsqu’un Écossais créa les premiers patins avec des lames en fer, en 1592. Cette évolution du patin a accéléré le développement du patinage à vitesse, et en 1942, un club a été fondé pour le patinage à vitesse. Maintenant, ce sport fait partie des Olympiques et attire de nombreuses foules. 

Entrainement

Clara Hughes fait des entraînements de vélo, et cela l’aide avec son endurance lorsqu’elle fait le patinage de vitesse. Mais, pour s’entraîner pour le vélo, cela nécessite de l’exercice physique. Par exemple, faire des fentes qui aident avec les muscles des jambes et peuvent améliorer la force sur le vélo. La balançoire de Kettle Bell aide avec l’endurance et améliore la force des pédales. L’haltérophilie augmente la force musculaire globale et optimise les muscles qui peuvent aider à être un cycliste efficace et rapide. Pour le patinage de vitesse, il faut aussi de l’exercice physique. Le patinage à vitesse ne fait travailler que les muscles des quadriceps, des ischiojambiers et les mollets. Pour améliorer ces muscles, il y a un exercice qui s’appelle «patineur». Cet exercice stimule les muscles qui aident avec le patinage à vitesse. Ce qui aide aussi est les fentes croisées, les sauts latéraux, les fentes sautées et les squats à 1800.

La dépression

Clara Hughes a vécu de la dépression lorsqu’elle n’était déjà qu’une petite fille. Durant son enfance, son père était alcoolique, et il y avait beaucoup d’agressions dans leur maison. Lorsque ses parents se sont séparés, elle et sa sœur ont commencé à avoir de mauvaises habitudes. Elles prenaient des drogues, fumaient des cigarettes et buvaient de l’alcool à l’âge de 13 ans. Même après avoir gagné des médailles olympiques, elle se sentait toujours triste, et elle avait arrêté sa carrière, parce qu’elle croyait que c’était le sport qui l’empêchait d’être heureuse. Elle croyait qu’elle se sentirait mieux sans le stress qu’implique la compétition sportive. Mais elle a fini par réaliser que ce n’était pas le cas. 

La façon dont Clara Hughes a surmonté ses défis

Clara Hughes a surmonté ses défis lorsqu’elle a réalisé qu’elle n’était pas seule dans sa dépression, et que ça ne voulait pas dire qu’elle était faible. Un mécanicien automobile qui s’appelle Eric Ven Den Eynde aimait comparer les athlètes à des voitures. Il dit qu’il faut réparer le conducteur avant de réparer le moteur. Il disait que le conducteur c’est la santé mentale, et le moteur c’est la santé physique. Il a aidé Hughes à apprendre qu’elle ne pouvait pas tout faire. Ce qui a aidé Clara Hughes le plus, c’est quand elle a appris à prendre des journées de repos, et trouver le soutien médical dont elle avait besoin. Des fois, nous avons besoin de parler à quelqu’un pour surmonter nos défis.