Le lancement des festivités a eu lieu le 21 janvier avec un spectacle de l’humoriste québécois Mario Jean.
Le Centre avait en fait démarré en 1971 quand le Club Richelieu a offert un édifice, qui était auparavant une école privée, pour que le centre de loisirs puisse réaliser son mandat de privilégier la culture et les activités communautaires. On a ensuite procédé à une grande rénovation pour créer, entre autres, une galerie d’art et un atelier de poterie. Des transformations se feront au fil des ans et l’édifice a ajouté les sports dans la mission du centre.
Épanouissement de la communauté francophone
«On a toujours la chance d’accueillir plus d’une dizaine de spectacles par année pour les francophones de la région. Nous continuons de redynamiser le carnaval d’hiver de Kapuskasing et nous voulons célébrer le 50e anniversaire pendant toute l’année. Il y aura des capsules vidéos présentant des thèmes importants du Centre de loisirs, par exemple. Un autre thème va être l’importance des enfants, comme les cours des enfants qu’on a donnés. On a aussi des thèmes qui vont se rapporter aux nombreux spectacles qu’on a accueillis avec une troupe de théâtre qui opère depuis une quinzaine d’années», énumère le directeur général du Centre, Dènik Dorval.
Il n’oublie pas la création de la mascotte du Centre de loisirs, qu’ils vont présenter dans un autre spectacle. «On vise aussi faire une grande murale sur notre bâtiment», dévoile-t-il.
Le Centre régional de loisirs culturels compte aussi sortir, l’année prochaine, un livre sur ses 50 ans. «Il contiendra les choses importantes qui se sont déroulées au cours de notre histoire», dit le directeur.
Le directeur général se félicite que le carnaval de Kapuskasing a toujours été un grand évènement rassembleur pour les francophones du nord de l’Ontario.
Des défis ne manquent pas dans la vie des organismes, mais Dènik Dorval dit que le Centre régional de loisirs culturels a toujours su bien répondre aux ambitions de ses membres. «C’est une histoire de bien de belles réussites, de beaucoup de bénévolat. On a un organisme qui se porte bien et qui est en bonne santé et qui continue à grandir», lance M. Dorval.